À propos du verbe faire, des makers, des fablabs, et de l'automatisation intégrale

Bonjour,

dans le cadre de la Biennale des écritures du Réel, Centrale Marseille accueillera Bernard STIEGLER et ses invités Julien Bellanger, et Olivier Landau mercredi 26 mars à 18h, dans le Grand Amphithéâtre pour une conférence intitulée :

À propos du verbe faire, des makers, des fablabs, et de l'automatisation intégrale

On parle d’une nouvelle révolution industrielle qui permettrait d’envisager de nouvelles formes de production très localisées et décentralisées, et revalorisant les savoir-faire après deux siècles de prolétarisation. Apparemment à l’opposé d’un tel point de vue, l’intégration des technologies par le numérique donne à penser que l’automatisation va se généraliser et l’emploi salarié régresser, sinon tout à fait disparaître. Que penser de ces perspectives apparemment contradictoires ? Pour ouvrir cette discussion, on avancera l’idée qu’une organisation radicalement nouvelle des sociétés industrielles est non seulement possible, mais inévitable, et que s’y dessine un choix de société d’une nouveauté probablement sans précédent. - See more at: http://www.centrale-marseille.fr/fr/news/une-ecole-ephemere-imaginee-philosophe-bernard-stiegler#sthash.WNm4geFQ.dpuf
"On parle d’une nouvelle révolution industrielle qui permettrait d’envisager de nouvelles formes de production très localisées et décentralisées, et revalorisant les savoir-faire après deux siècles de prolétarisation. Apparemment à l’opposé d’un tel point de vue, l’intégration des technologies par le numérique donne à penser que l’automatisation va se généraliser et l’emploi salarié régresser, sinon tout à fait disparaître. Que penser de ces perspectives apparemment contradictoires ? Pour ouvrir cette discussion, on avancera l’idée qu’une organisation radicalement nouvelle des sociétés industrielles est non seulement possible, mais inévitable, et que s’y dessine un choix de société d’une nouveauté probablement sans précédent."
On parle d’une nouvelle révolution industrielle qui permettrait d’envisager de nouvelles formes de production très localisées et décentralisées, et revalorisant les savoir-faire après deux siècles de prolétarisation. Apparemment à l’opposé d’un tel point de vue, l’intégration des technologies par le numérique donne à penser que l’automatisation va se généraliser et l’emploi salarié régresser, sinon tout à fait disparaître. Que penser de ces perspectives apparemment contradictoires ? Pour ouvrir cette discussion, on avancera l’idée qu’une organisation radicalement nouvelle des sociétés industrielles est non seulement possible, mais inévitable, et que s’y dessine un choix de société d’une nouveauté probablement sans précédent. - See more at: http://www.centrale-marseille.fr/fr/news/une-ecole-ephemere-imaginee-philosophe-bernard-stiegler#sthash.WNm4geFQ.dpuf
Bernard Stiegler

Pour venir à Centrale Marseille, c'est assez simple (y compris en métro + bus) : http://integrer.centrale-marseille.fr/plan-dacces
Cette intervention sera suivie, le lendemain et le surlendemain, par deux autres interventions à l'Espace Julien et au Cinéma Les Variétés (le tout constituant une "école éphémère").

Cette conférence est ouverte à un large public : n'hésitez pas à diffuser l'information dans vos réseaux, l'auditorium est grand (450 places).

Informations :
Plot 3 - Bureau 103 - 04 91 05 45 18 - 06 25 33 60 75
CENTRALE MARSEILLE
Pôle de l'Étoile - Technopôle de Château-Gombert
38, rue Frédéric Joliot-Curie 13451 Marseille cedex 20